La traduction de la littérature de migration représente un défi particulier dans la mesure où elle implique une activité de médiation culturelle. Traduire ce type de littérature signifie non seulement être confronté aux idiosyncrasies de la langue utilisée par les auteurs, mais aussi appréhender un mode de pensée et saisir une perception de valeurs spécifique à une culture d’origine.
L’ouvrage est structuré en trois parties correspondant à des aires géographiques et culturelles couvertes par les différentes oeuvres analysées. Tandis que la première partie est consacrée aux perspectives européennes, les contributions de la deuxième partie mettent l’accent sur des contextes africains et américains. Les études réunies dans la troisième partie se focalisent sur des expériences migratoires entre l’Orient et l’Occident.